En réalité, rénover ses fenêtres signifie les remplacer, le coût d’un remplacement étant moins élevé aujourd’hui que celui d’une rénovation. Tout en étant de plus en plus sophistiquées et de moins en moins chères, les fenêtres sont désormais posées par les professionnels en des temps records - comptez 1 heure par fenêtre - et en plus c’est un chantier propre ! Mais c’est surtout un investissement rentable en matière de dépenses énergétiques qui permet d’obtenir un bien meilleur confort intérieur.
Il est facile de comprendre pourquoi ces petites ouvertures ont une si grande importance, aussi bien pour le logement que pour ses occupants.
Une meilleur isolation thermique
En effet, les fenêtres peuvent représenter jusqu’à 25% des déperditions d’énergie et sont donc considérées parmi les zones les plus sensibles en terme d’isolation thermique au même titre que la toiture et les murs. Sans empêcher la circulation d’air au sein du logement, il est toujours très désagréable de sentir l’air circuler aux abords des fenêtres et de subir l’augmentation sans fin des coûts de chauffage induits.
Une meilleure isolation acoustique
De nouvelles fenêtres se distingueront également par leur qualité acoustique, la sensation de calme constituant avec la température ambiante, l’un des critères de base d’un bon confort.
Plus de sécurité
Il ne faut pas non plus négliger le fait que la protection contre le bruit renforce aussi la sécurité, l’épaisseur d’une fenêtre pouvant tout simplement décourager un cambrioleur.
Plus de lumière
Et puis n’oublions pas que la fenêtre constitue la seule ouverture par laquelle la lumière pénètre dans une pièce pour l’éclairer, et que sans elle la facture d’électricité aurait plutôt tendance à décupler.
Et un crédit d'impôt
Dans un marché très concurrentiel bénéfique pour les prix, la rénovation des fenêtres est largement favorisée par un contexte économique et écologique qui a changé véritablement la donne. La maîtrise des dépenses d’énergie et le respect de l’environnement sont devenus la préoccupation de tous, sans compter les aides de l’état permettant de récupérer de 25 à 40% du coût des fenêtres hors main d’œuvre sous forme de crédit d’impôt.








